Atténuer les répercussions des changements climatiques sur les actifs physiques par la finance spatiale
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Imaginez un monde où les agriculteurs se servent des données des satellites et de la modélisation IA pour déterminer la résilience climatique de leurs terres, la quantité de carbone séquestrée par leur sol et leurs cultures ou la vulnérabilité de leur exploitation à des phénomènes météorologiques extrêmes comme la sécheresse, les inondations, le gel ou les incendies de forêt, à court, moyen et long terme. Imaginez aussi qu’une société utilise cette technologie pour surveiller en temps réel les émissions fugitives de ses installations ou gérer ses ressources hydriques.
Et si une entreprise d’expédition ou de logistique pouvait avoir recours à la cartographie géospatiale pour planifier ses itinéraires et gérer ses chaînes d’approvisionnement afin de se protéger d’événements climatiques catastrophiques comme des tempêtes et des mers déchaînées mettant en danger ses employés et la marchandise qu’ils transportent? Si les sociétés de pêche s’en servaient pour s’assurer que leurs navires ne pêchent pas illégalement?
Imaginez maintenant que l’on intègre cette technologie à la finance, de sorte que le rendement environnemental puisse être mesuré et suivi, et qu’il procure un avantage financier s’il répond à une norme convenue entre l’entreprise et sa banque ou ses investisseurs. Ceci créerait évidemment un cercle vertueux qui encouragerait la durabilité.
Or, cette technologie est déjà à l’œuvre; elle nous permet d’analyser plus de données que jamais sur notre planète, de l’échelle globale à celle du mètre carré, en nous offrant de nouveaux outils pour protéger nos entreprises des répercussions des changements climatiques et parvenir à un monde carboneutre.
Cette technologie ouvre la voie à la finance spatiale, qui est susceptible de révolutionner l’intégration de la durabilité dans les activités financières et bancaires.
Alors que le monde amorce sa transition vers la carboneutralité, il est plus évident que jamais que cet objectif ne pourra être atteint sans une bonne compréhension des sentiers de décarbonisation, et que des technologies de ce genre joueront un rôle clé dans la recherche de solutions climatiques.
La finance se retrouvera elle aussi au cœur de ces solutions – comme on l’a maintes fois répété à la COP26 de Glasgow. La technologie nous donne les moyens de lier le rendement en matière de durabilité et l’affectation des capitaux et d’encourager un rendement solide aligné sur les objectifs mondiaux. On parle de finance spatiale parce que cette démarche allie les données climatiques géospatiales et la théorie financière. Ces technologies deviendront des outils d’intelligence artificielle essentiels pour synthétiser les données et aider les entreprises à évaluer les risques que les changements climatiques font courir à leurs activités à court et à long terme.
Une stratégie fondamentale
L’intégration du climat dans la stratégie commerciale et la gestion des risques est une des priorités de l’Institut pour le climat de BMO, tout comme le recours à la technologie pour prédire les tendances climatiques et relever les risques et les occasions qui en découlent pour la banque et ses clients constitue un aspect fondamental de la stratégie de durabilité de BMO.
Créé en mars 2021 dans le cadre de notre ambition de carboneutralité, l’Institut est un centre d’excellence qui a pour mandat de mettre à contribution la compétence scientifique et analytique de la banque et de ses partenaires pour mieux comprendre et gérer les occasions et les risques financiers liés à la transition vers la carboneutralité, pour nous et pour nos clients.
Dans le cadre de cette démarche, nous nous associons à des partenaires technologiques innovateurs comme Climate Engine, qui met à profit les mégadonnées des plateformes d’observation de la Terre, comme l’imagerie satellitaire, conjuguées à des modèles scientifiques rigoureux pour comprendre et même modéliser les répercussions possibles des changements climatiques dans les semaines, les mois, les années, voire les décennies qui viennent, à l’échelle des régions, des pays, des villes et des terres agricoles. Cette technologie peut nous aider à comprendre l’impact actuel et futur des changements climatiques sur les entreprises.
Toutes ces données – synthétisées à l’aide de moyens d’analyse évolués comme l’intelligence artificielle – peuvent aider les entreprises à évaluer les risques que les changements climatiques feront peser sur leur exploitation, à court et à long terme.
Un mythe à dissiper
« J’ai l’impression que nous vivons dans un monde où l’on a longtemps cru que l’économie évoluait indépendamment de l’environnement. C’est une illusion, dont les conséquences commencent à se faire sentir au niveau de variables comme l’utilisation de l’eau, les changements climatiques et les émissions de gaz à effet de serre. Le temps est venu d’adopter des comportements qui tiennent compte du lien qui existe entre l’économie et l’environnement. » C’est ce que m’a dit récemment Jamie Herring, chef de la direction de Climate Engine, lors d’un entretien avec les chefs de file du développement durable de BMO.
Ce lien a été clairement illustré à la COP26 de Glasgow, quand le délégué de Fidji a expliqué comment un cyclone avait effacé le tiers du PIB du pays en 36 heures en 2016. Plus près de chez nous, l’été dernier, la vague de chaleur qui a envahi la Colombie-Britannique a contribué à provoquer un incendie de forêt qui a pratiquement rasé la ville de Lytton. Plus récemment, la ville de Vancouver, qui abrite un des plus grands ports du Canada, a été coupée du reste du pays après que des pluies torrentielles et des vents violents ont provoqué des inondations et des glissements de terrain dévastateurs.
Les technologies utilisées par Climate Engine aident les entreprises et les gouvernements à comprendre et à utiliser les données pour mieux décider des mesures à prendre pour réduire le risque lié aux événements climatiques extrêmes qui vont inévitablement se poursuivre ou pour en atténuer les répercussions négatives sur les comportements et les activités économiques.
Ayant pris l’engagement d’être le principal partenaire stratégique de nos clients dans la transition climatique, nous avons entamé il y a plus d’un an des discussions avec Climate Engine pour explorer les applications possibles de la technologie de cette société au secteur bancaire et financier. Nous avons fait appel aux laboratoires IA de données et d’analyse de BMO et leur avons demandé de nous aider à bâtir une plateforme nous permettant de combiner les capacités analytiques fournies par Climate Engine avec nos propres données sur les emplacements physiques pour tous nos clients, des emprunteurs hypothécaires résidentiels aux entreprises grandes et petites, à l’échelle locale ou internationale.
À l’aide de la technologie de Climate Engine, l’Institut pour le climat peut avoir recours à cette modélisation scientifique pour donner un sens à toutes ces données et repérer les risques et les occasions de faire progresser l’action pour le climat.
Un potentiel immense
Bien qu’elle en soit à ses débuts, la finance spatiale s’annonce très prometteuse dans une foule d’applications. Avec des pétaoctets de données satellitaires, nous commençons à disposer d’une information étendue sur la planète et l’impact des activités économiques et nous pouvons arrimer cette information aux instruments financiers.
Cette discipline est également indispensable pour aider la banque et ses clients à opérer leur transition vers la carboneutralité d’ici 2050 et à renforcer leur résilience face aux risques que les changements climatiques font courir aux actifs physiques. À l’Institut pour le climat de BMO, nous examinons comment la science du climat peut contribuer à la gestion des risques et encourager des activités visant à lutter contre les changements climatiques par l’entremise de la finance.
La gestion des changements climatiques et la transition vers la durabilité comportent aussi bien des occasions que des risques. Par exemple, les villes devront repenser leurs infrastructures pour les rendre moins vulnérables à la transformation de l’environnement. Par l’analyse du climat, une municipalité peut s’adapter aux événements climatiques probables en intégrant divers scénarios dans sa planification pour évoluer au même rythme que la planète.
En comprenant mieux son rôle dans la lutte contre les changements climatiques, le secteur financier pourra offrir des solutions allant de nouveaux genres de produits d’assurance à des placements à revenu fixe innovants, investir dans le démarrage d’entreprises qui changeront la donne et nuancer l’évaluation des risques au niveau de chaque société.
Nous ne pourrons pas nécessairement stopper les changements climatiques à brève échéance, mais nous devons être en mesure d’en évaluer, cartographier et atténuer les répercussions. Cela demandera beaucoup de travail, mais avec les bons outils et des partenaires motivés, nous pouvons nous préparer pour ce que l’avenir nous réserve.
Michael Torrance occupe le poste de premier directeur de la durabilité, BMO Groupe financier. Il est passionné par la durabilité, en particulie…(..)
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Et si une entreprise d’expédition ou de logistique pouvait avoir recours à la cartographie géospatiale pour planifier ses itinéraires et gérer ses chaînes d’approvisionnement afin de se protéger d’événements climatiques catastrophiques comme des tempêtes et des mers déchaînées mettant en danger ses employés et la marchandise qu’ils transportent? Si les sociétés de pêche s’en servaient pour s’assurer que leurs navires ne pêchent pas illégalement?
Imaginez maintenant que l’on intègre cette technologie à la finance, de sorte que le rendement environnemental puisse être mesuré et suivi, et qu’il procure un avantage financier s’il répond à une norme convenue entre l’entreprise et sa banque ou ses investisseurs. Ceci créerait évidemment un cercle vertueux qui encouragerait la durabilité.
Or, cette technologie est déjà à l’œuvre; elle nous permet d’analyser plus de données que jamais sur notre planète, de l’échelle globale à celle du mètre carré, en nous offrant de nouveaux outils pour protéger nos entreprises des répercussions des changements climatiques et parvenir à un monde carboneutre.
Cette technologie ouvre la voie à la finance spatiale, qui est susceptible de révolutionner l’intégration de la durabilité dans les activités financières et bancaires.
Alors que le monde amorce sa transition vers la carboneutralité, il est plus évident que jamais que cet objectif ne pourra être atteint sans une bonne compréhension des sentiers de décarbonisation, et que des technologies de ce genre joueront un rôle clé dans la recherche de solutions climatiques.
La finance se retrouvera elle aussi au cœur de ces solutions – comme on l’a maintes fois répété à la COP26 de Glasgow. La technologie nous donne les moyens de lier le rendement en matière de durabilité et l’affectation des capitaux et d’encourager un rendement solide aligné sur les objectifs mondiaux. On parle de finance spatiale parce que cette démarche allie les données climatiques géospatiales et la théorie financière. Ces technologies deviendront des outils d’intelligence artificielle essentiels pour synthétiser les données et aider les entreprises à évaluer les risques que les changements climatiques font courir à leurs activités à court et à long terme.
Une stratégie fondamentale
L’intégration du climat dans la stratégie commerciale et la gestion des risques est une des priorités de l’Institut pour le climat de BMO, tout comme le recours à la technologie pour prédire les tendances climatiques et relever les risques et les occasions qui en découlent pour la banque et ses clients constitue un aspect fondamental de la stratégie de durabilité de BMO.
Créé en mars 2021 dans le cadre de notre ambition de carboneutralité, l’Institut est un centre d’excellence qui a pour mandat de mettre à contribution la compétence scientifique et analytique de la banque et de ses partenaires pour mieux comprendre et gérer les occasions et les risques financiers liés à la transition vers la carboneutralité, pour nous et pour nos clients.
Dans le cadre de cette démarche, nous nous associons à des partenaires technologiques innovateurs comme Climate Engine, qui met à profit les mégadonnées des plateformes d’observation de la Terre, comme l’imagerie satellitaire, conjuguées à des modèles scientifiques rigoureux pour comprendre et même modéliser les répercussions possibles des changements climatiques dans les semaines, les mois, les années, voire les décennies qui viennent, à l’échelle des régions, des pays, des villes et des terres agricoles. Cette technologie peut nous aider à comprendre l’impact actuel et futur des changements climatiques sur les entreprises.
Toutes ces données – synthétisées à l’aide de moyens d’analyse évolués comme l’intelligence artificielle – peuvent aider les entreprises à évaluer les risques que les changements climatiques feront peser sur leur exploitation, à court et à long terme.
Un mythe à dissiper
« J’ai l’impression que nous vivons dans un monde où l’on a longtemps cru que l’économie évoluait indépendamment de l’environnement. C’est une illusion, dont les conséquences commencent à se faire sentir au niveau de variables comme l’utilisation de l’eau, les changements climatiques et les émissions de gaz à effet de serre. Le temps est venu d’adopter des comportements qui tiennent compte du lien qui existe entre l’économie et l’environnement. » C’est ce que m’a dit récemment Jamie Herring, chef de la direction de Climate Engine, lors d’un entretien avec les chefs de file du développement durable de BMO.
Ce lien a été clairement illustré à la COP26 de Glasgow, quand le délégué de Fidji a expliqué comment un cyclone avait effacé le tiers du PIB du pays en 36 heures en 2016. Plus près de chez nous, l’été dernier, la vague de chaleur qui a envahi la Colombie-Britannique a contribué à provoquer un incendie de forêt qui a pratiquement rasé la ville de Lytton. Plus récemment, la ville de Vancouver, qui abrite un des plus grands ports du Canada, a été coupée du reste du pays après que des pluies torrentielles et des vents violents ont provoqué des inondations et des glissements de terrain dévastateurs.
Les technologies utilisées par Climate Engine aident les entreprises et les gouvernements à comprendre et à utiliser les données pour mieux décider des mesures à prendre pour réduire le risque lié aux événements climatiques extrêmes qui vont inévitablement se poursuivre ou pour en atténuer les répercussions négatives sur les comportements et les activités économiques.
Ayant pris l’engagement d’être le principal partenaire stratégique de nos clients dans la transition climatique, nous avons entamé il y a plus d’un an des discussions avec Climate Engine pour explorer les applications possibles de la technologie de cette société au secteur bancaire et financier. Nous avons fait appel aux laboratoires IA de données et d’analyse de BMO et leur avons demandé de nous aider à bâtir une plateforme nous permettant de combiner les capacités analytiques fournies par Climate Engine avec nos propres données sur les emplacements physiques pour tous nos clients, des emprunteurs hypothécaires résidentiels aux entreprises grandes et petites, à l’échelle locale ou internationale.
À l’aide de la technologie de Climate Engine, l’Institut pour le climat peut avoir recours à cette modélisation scientifique pour donner un sens à toutes ces données et repérer les risques et les occasions de faire progresser l’action pour le climat.
Un potentiel immense
Bien qu’elle en soit à ses débuts, la finance spatiale s’annonce très prometteuse dans une foule d’applications. Avec des pétaoctets de données satellitaires, nous commençons à disposer d’une information étendue sur la planète et l’impact des activités économiques et nous pouvons arrimer cette information aux instruments financiers.
Cette discipline est également indispensable pour aider la banque et ses clients à opérer leur transition vers la carboneutralité d’ici 2050 et à renforcer leur résilience face aux risques que les changements climatiques font courir aux actifs physiques. À l’Institut pour le climat de BMO, nous examinons comment la science du climat peut contribuer à la gestion des risques et encourager des activités visant à lutter contre les changements climatiques par l’entremise de la finance.
La gestion des changements climatiques et la transition vers la durabilité comportent aussi bien des occasions que des risques. Par exemple, les villes devront repenser leurs infrastructures pour les rendre moins vulnérables à la transformation de l’environnement. Par l’analyse du climat, une municipalité peut s’adapter aux événements climatiques probables en intégrant divers scénarios dans sa planification pour évoluer au même rythme que la planète.
En comprenant mieux son rôle dans la lutte contre les changements climatiques, le secteur financier pourra offrir des solutions allant de nouveaux genres de produits d’assurance à des placements à revenu fixe innovants, investir dans le démarrage d’entreprises qui changeront la donne et nuancer l’évaluation des risques au niveau de chaque société.
Nous ne pourrons pas nécessairement stopper les changements climatiques à brève échéance, mais nous devons être en mesure d’en évaluer, cartographier et atténuer les répercussions. Cela demandera beaucoup de travail, mais avec les bons outils et des partenaires motivés, nous pouvons nous préparer pour ce que l’avenir nous réserve.
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BMO Marchés des capitaux est un nom commercial utilisé par BMO Groupe financier pour les services de vente en gros de la Banque de Montréal, de BMO Bank N.A. (membre de la FDIC), de Bank of Montreal Europe Plc et de Bank of Montreal (China) Co. Ltd., pour les services de courtage auprès des clients institutionnels de BMO Capital Markets Corp. (membre de la FINRA et de la SIPC) et les services de courtage d'agence de Clearpool Execution Services, LLC (membre la FINRA et de la SIPC) aux États-Unis, ainsi que pour les services de courtage auprès des clients institutionnels de BMO Nesbitt Burns Inc. (membre de l’Organisme canadien de réglementation des investissements , et membre du Fonds canadien de protection des épargnants) au Canada et en Asie, de Bank of Montreal Europe Plc (autorisée et réglementée par la Central Bank of Ireland) en Europe et de BMO Capital Markets Limited (autorisée et réglementée par la Financial Conduct Authority) au Royaume-Uni et en Australie, ainsi que pour les services-conseils en matière d’établissement de crédits carbone, de durabilité et de solutions pour l’environnement de Banque de Montréal, de BMO Radicle Inc., et de Carbon Farmers Australia Pty Ltd. (ACN 136 799 221 AFSL 430135) en Australie. « Nesbitt Burns » est une marque de commerce déposée de BMO Nesbitt Burns Inc., utilisée sous licence. « BMO Marchés des capitaux » est une marque de commerce de la Banque de Montréal, utilisée sous licence. « BMO (le médaillon contenant le M souligné) » est une marque de commerce déposée de la Banque de Montréal, utilisée sous licence.Pour de plus amples renseignements, veuillez vous adresser à la personne morale autorisée à faire des affaires sur votre territoire.
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