Comment réussir dans l’économie à la demande?
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Publication de BMO Gestion de patrimoine
L’économie à la demande (ou « gig economy ») fait de plus en plus d’adeptes parmi les travailleurs canadiens et ne cesse de faire parler d’elle.
De plus en plus de travailleurs disent adieu aux emplois de neuf à cinq pour se tourner vers des fonctions temporaires et souples. Ces travailleurs, tous âges confondus, prennent d’assaut l’économie à la demande, au Canada et dans le monde entier.
Pour en savoir plus sur cette évolution de la main-d’œuvre, nous avons réalisé un sondage auprès d’un millier de travailleurs indépendants canadiens pour comprendre pourquoi ils avaient choisi ce nouveau mode de travail.
Qu’est-ce que l’économie à la demande et pourquoi a-t-elle le vent en poupe?
L’économie à la demande désigne un environnement de travail caractérisé par des contrats à court terme et des travaux à la pige plutôt que par les traditionnels emplois permanents. Pensez à l’autopartage, aux promeneurs de chiens ou au dernier appartement que vous avez trouvé sur Airbnb. C’est un modèle qui est déjà en vogue au Canada et qui ne donne aucun signe d’essoufflement1; et, maintenant, même les travailleurs hautement qualifiés des domaines comme les technologies de l’information, la comptabilité, l’ingénierie et les ressources humaines optent pour ce mode d’emploi.
Cette évolution de la main-d’œuvre a été stimulée par la crise financière de 2008, qui avait entraîné une augmentation du chômage. Mais, même quand les choses ont commencé à aller mieux, les emplois à court terme n’ont rien perdu de leur popularité, des applications comme Uber, TaskRabbit et LinkedIn permettant aux travailleurs de trouver rapidement de nouveaux contrats.
Autre raison de cette multiplication des adeptes de l’économie à la demande : ils ont tendance à être plus satisfaits de leur emploi, en raison de cette flexibilité qui leur permet de travailler quand ils veulent et où ils veulent.1 En outre, les employeurs peuvent rapidement combler leurs besoins de main-d’œuvre qualifiée en puisant dans un bassin de travailleurs talentueux prêts à répondre présents.
Notre étude a permis de démontrer que c’est par choix, et non par nécessité, que les travailleurs se jettent à l’eau. Plus de la moitié des travailleurs indépendants interrogés ont fait le saut volontairement, et disent l’avoir fait pour relever de nouveaux défis ou pour se trouver un but après d’autres expériences de travail.
Voici un aperçu des défis et opportunités engendrés par l’économie à la demande, ainsi que quelques conseils utiles sur la façon de gérer vos finances sur un marché de l’emploi incertain.
Qui sont les acteurs de l’économie à la demande?
L’économie à la demande n’est pas réservée aux milléniaux. Quand on pense à la « gig economy », on a tendance à s’imaginer des chauffeurs Uber dans la vingtaine; pourtant, le travail à la demande attire des Canadiens de tous âges et aux compétences variées.
Les générations qui s’adonnent au travail à la pige sont nombreuses : des baby-boomers qui souhaitent goûter au travail autonome après toute une carrière de travail à temps plein, des membres de la génération X qui veulent mettre leurs compétences et leurs connaissances au service d’un travail indépendant, et des milléniaux qui tentent de lancer leur carrière tout en épargnant au maximum.
L’étude de décembre 2017 de BMO Gestion de patrimoine permet de comprendre pourquoi les travailleurs de tous âges acceptent des emplois non permanents. La principale raison, toutes générations confondues, tient à l’autonomie qui accompagne le travail indépendant. Mais chaque génération a ses propres motivations pour se joindre à l’économie à la demande.
Baby-boomers
- Pour les baby-boomers, l’économie à la demande est un excellent moyen de faciliter leur sortie de la vie active tout en s’assurant un complément de revenu.
Génération X
- Les membres de la génération X estiment que cela les aide à concilier travail et vie familiale, peut-être parce qu’il leur faut élever leurs enfants, prendre soin de leurs aînés et construire leur carrière.
Génération Y
- Comparativement aux générations précédentes, les milléniaux ont plutôt tendance à opter pour le travail autonome pour gagner un revenu d’appoint et l’utiliser jusqu’à ce qu’ils trouvent un meilleur emploi.
Surmonter les obstacles de l’économie à la demande
L’économie à la demande est incertaine par nature, ce qui induit des difficultés spécifiques. Toutes générations confondues, les travailleurs indiquent que l’absence d’avantages sociaux, le fait de ne pas être payés lorsqu’ils sont malades et de ne pas gagner assez constituent les principales difficultés du travail autonome.
Les baby-boomers sont davantage préoccupés par l’absence d’avantages sociaux, probablement parce que le risque d’invalidité ou de maladie augmente avec l’âge. Les milléniaux et les membres de la génération X sont plus susceptibles que les baby-boomers de devoir composer avec des dettes. C’est peut-être parce que les plus jeunes générations doivent jongler avec de multiples priorités financières, tandis que les baby-boomers, qui travaillent depuis plus longtemps, ont eu plus de temps pour se constituer un patrimoine et rembourser leurs dettes.
Six façons de s’en sortir financièrement quand on travaille dans l’économie à la demande
Pour bien des gens, les avantages propres à l’économie à la demande dépassent les difficultés potentielles. Et, quelle que soit la génération, les travailleurs de la « gig economy » devront faire un certain nombre de démarches pour garder la maîtrise de leurs finances.
Si vous faites partie de l’économie à la demande, ou si vous songez à faire le saut, voici quelques conseils pour vous aider à surmonter les difficultés financières :
- Faites un budget (flexible). Il peut être difficile d’élaborer un plan de dépenses lorsque vos revenus fluctuent de mois en mois. Pensez à faire plusieurs versions de votre budget : une version minimaliste pour les périodes entre deux contrats, et des variations qui vous permettront de dépenser un peu plus lorsque vous aurez des rentrées d’argent.
- Prenez le contrôle de vos impôts. À titre de travailleur indépendant, vous êtes tenu de déclarer vos revenus aux autorités fiscales et de payer toutes les cotisations au Régime de pensions du Canada. Pensez à tenir un registre détaillé de tous vos revenus et dépenses. Il est également conseillé de travailler avec un comptable pour faire le suivi de vos impôts et de vos obligations fiscales.
- Prévoyez un filet de sécurité. En raison du manque de stabilité propre au travail à la pige, il est particulièrement important de vous doter d’un fonds d’urgence. Essayez de mettre de côté de quoi couvrir trois à six mois de dépenses; vous ne serez ainsi pas pris au dépourvu en cas de dépense imprévue (comme une panne de voiture) ou si vous avez du mal à trouver un nouveau contrat. Assurez-vous de garder cet argent sur un compte où il sera facilement accessible en cas de besoin.
- Investissez dans votre santé. Réduire ses dépenses est une bonne idée lorsque l’on occupe un emploi non permanent, mais vous ne devez pas couper dans vos dépenses de santé. Prenez une assurance soins de santé et une assurance maladie privées; vous pourrez ainsi vous payer des traitements en cas de besoin, même si votre budget est serré. Si vous êtes membre d’un ordre professionnel, vérifiez si ce dernier propose des régimes d’assurance à moindre coût.
- Épargnez à long terme. En tant qu’employé non permanent, vous devez vous charger vous-même de votre épargne-retraite. Vous pouvez épargner dans un compte de retraite individuel, comme un REER ou un CELI. Essayez d’économiser de l’argent tous les trimestres ou tous les six mois par prélèvements automatiques, plutôt que tous les mois, pour tenir compte des variations de vos revenus.
- Ayez un plan financier. Le plan financier est la pierre angulaire qui vous aidera à garder la tête hors de l’eau sur un marché de l’emploi parfois imprévisible. Votre plan doit être flexible et revu régulièrement. Si vous gagnez peu un mois, soyez prêt à cesser d’épargner pour quelque temps. Si vos revenus sont meilleurs un autre mois, cotisez plus à votre compte d’épargne-retraite et à votre fonds d’urgence.
En conclusion
L’économie à la demande change la façon dont les gens travaillent et attire des Canadiens de tous les milieux. Les emplois temporaires offrent de nombreux avantages (comme la flexibilité, l’indépendance et la conciliation travail-vie privée), mais ils peuvent également être une source de difficultés financières que vous devrez surmonter. Un professionnel en services financiers de BMO pourra vous aider à élaborer un plan personnalisé qui vous permettra de veiller à votre bien-être financier tout en travaillant dans les conditions qui vous conviennent.
Publication de BMO Gestion de patrimoine
L’économie à la demande (ou « gig economy ») fait de plus en plus d’adeptes parmi les travailleurs canadiens et ne cesse de faire parler d’elle.
De plus en plus de travailleurs disent adieu aux emplois de neuf à cinq pour se tourner vers des fonctions temporaires et souples. Ces travailleurs, tous âges confondus, prennent d’assaut l’économie à la demande, au Canada et dans le monde entier.
Pour en savoir plus sur cette évolution de la main-d’œuvre, nous avons réalisé un sondage auprès d’un millier de travailleurs indépendants canadiens pour comprendre pourquoi ils avaient choisi ce nouveau mode de travail.
Qu’est-ce que l’économie à la demande et pourquoi a-t-elle le vent en poupe?
L’économie à la demande désigne un environnement de travail caractérisé par des contrats à court terme et des travaux à la pige plutôt que par les traditionnels emplois permanents. Pensez à l’autopartage, aux promeneurs de chiens ou au dernier appartement que vous avez trouvé sur Airbnb. C’est un modèle qui est déjà en vogue au Canada et qui ne donne aucun signe d’essoufflement1; et, maintenant, même les travailleurs hautement qualifiés des domaines comme les technologies de l’information, la comptabilité, l’ingénierie et les ressources humaines optent pour ce mode d’emploi.
Cette évolution de la main-d’œuvre a été stimulée par la crise financière de 2008, qui avait entraîné une augmentation du chômage. Mais, même quand les choses ont commencé à aller mieux, les emplois à court terme n’ont rien perdu de leur popularité, des applications comme Uber, TaskRabbit et LinkedIn permettant aux travailleurs de trouver rapidement de nouveaux contrats.
Autre raison de cette multiplication des adeptes de l’économie à la demande : ils ont tendance à être plus satisfaits de leur emploi, en raison de cette flexibilité qui leur permet de travailler quand ils veulent et où ils veulent.1 En outre, les employeurs peuvent rapidement combler leurs besoins de main-d’œuvre qualifiée en puisant dans un bassin de travailleurs talentueux prêts à répondre présents.
Notre étude a permis de démontrer que c’est par choix, et non par nécessité, que les travailleurs se jettent à l’eau. Plus de la moitié des travailleurs indépendants interrogés ont fait le saut volontairement, et disent l’avoir fait pour relever de nouveaux défis ou pour se trouver un but après d’autres expériences de travail.
Voici un aperçu des défis et opportunités engendrés par l’économie à la demande, ainsi que quelques conseils utiles sur la façon de gérer vos finances sur un marché de l’emploi incertain.
Qui sont les acteurs de l’économie à la demande?
L’économie à la demande n’est pas réservée aux milléniaux. Quand on pense à la « gig economy », on a tendance à s’imaginer des chauffeurs Uber dans la vingtaine; pourtant, le travail à la demande attire des Canadiens de tous âges et aux compétences variées.
Les générations qui s’adonnent au travail à la pige sont nombreuses : des baby-boomers qui souhaitent goûter au travail autonome après toute une carrière de travail à temps plein, des membres de la génération X qui veulent mettre leurs compétences et leurs connaissances au service d’un travail indépendant, et des milléniaux qui tentent de lancer leur carrière tout en épargnant au maximum.
L’étude de décembre 2017 de BMO Gestion de patrimoine permet de comprendre pourquoi les travailleurs de tous âges acceptent des emplois non permanents. La principale raison, toutes générations confondues, tient à l’autonomie qui accompagne le travail indépendant. Mais chaque génération a ses propres motivations pour se joindre à l’économie à la demande.
Baby-boomers
- Pour les baby-boomers, l’économie à la demande est un excellent moyen de faciliter leur sortie de la vie active tout en s’assurant un complément de revenu.
Génération X
- Les membres de la génération X estiment que cela les aide à concilier travail et vie familiale, peut-être parce qu’il leur faut élever leurs enfants, prendre soin de leurs aînés et construire leur carrière.
Génération Y
- Comparativement aux générations précédentes, les milléniaux ont plutôt tendance à opter pour le travail autonome pour gagner un revenu d’appoint et l’utiliser jusqu’à ce qu’ils trouvent un meilleur emploi.
Surmonter les obstacles de l’économie à la demande
L’économie à la demande est incertaine par nature, ce qui induit des difficultés spécifiques. Toutes générations confondues, les travailleurs indiquent que l’absence d’avantages sociaux, le fait de ne pas être payés lorsqu’ils sont malades et de ne pas gagner assez constituent les principales difficultés du travail autonome.
Les baby-boomers sont davantage préoccupés par l’absence d’avantages sociaux, probablement parce que le risque d’invalidité ou de maladie augmente avec l’âge. Les milléniaux et les membres de la génération X sont plus susceptibles que les baby-boomers de devoir composer avec des dettes. C’est peut-être parce que les plus jeunes générations doivent jongler avec de multiples priorités financières, tandis que les baby-boomers, qui travaillent depuis plus longtemps, ont eu plus de temps pour se constituer un patrimoine et rembourser leurs dettes.
Six façons de s’en sortir financièrement quand on travaille dans l’économie à la demande
Pour bien des gens, les avantages propres à l’économie à la demande dépassent les difficultés potentielles. Et, quelle que soit la génération, les travailleurs de la « gig economy » devront faire un certain nombre de démarches pour garder la maîtrise de leurs finances.
Si vous faites partie de l’économie à la demande, ou si vous songez à faire le saut, voici quelques conseils pour vous aider à surmonter les difficultés financières :
- Faites un budget (flexible). Il peut être difficile d’élaborer un plan de dépenses lorsque vos revenus fluctuent de mois en mois. Pensez à faire plusieurs versions de votre budget : une version minimaliste pour les périodes entre deux contrats, et des variations qui vous permettront de dépenser un peu plus lorsque vous aurez des rentrées d’argent.
- Prenez le contrôle de vos impôts. À titre de travailleur indépendant, vous êtes tenu de déclarer vos revenus aux autorités fiscales et de payer toutes les cotisations au Régime de pensions du Canada. Pensez à tenir un registre détaillé de tous vos revenus et dépenses. Il est également conseillé de travailler avec un comptable pour faire le suivi de vos impôts et de vos obligations fiscales.
- Prévoyez un filet de sécurité. En raison du manque de stabilité propre au travail à la pige, il est particulièrement important de vous doter d’un fonds d’urgence. Essayez de mettre de côté de quoi couvrir trois à six mois de dépenses; vous ne serez ainsi pas pris au dépourvu en cas de dépense imprévue (comme une panne de voiture) ou si vous avez du mal à trouver un nouveau contrat. Assurez-vous de garder cet argent sur un compte où il sera facilement accessible en cas de besoin.
- Investissez dans votre santé. Réduire ses dépenses est une bonne idée lorsque l’on occupe un emploi non permanent, mais vous ne devez pas couper dans vos dépenses de santé. Prenez une assurance soins de santé et une assurance maladie privées; vous pourrez ainsi vous payer des traitements en cas de besoin, même si votre budget est serré. Si vous êtes membre d’un ordre professionnel, vérifiez si ce dernier propose des régimes d’assurance à moindre coût.
- Épargnez à long terme. En tant qu’employé non permanent, vous devez vous charger vous-même de votre épargne-retraite. Vous pouvez épargner dans un compte de retraite individuel, comme un REER ou un CELI. Essayez d’économiser de l’argent tous les trimestres ou tous les six mois par prélèvements automatiques, plutôt que tous les mois, pour tenir compte des variations de vos revenus.
- Ayez un plan financier. Le plan financier est la pierre angulaire qui vous aidera à garder la tête hors de l’eau sur un marché de l’emploi parfois imprévisible. Votre plan doit être flexible et revu régulièrement. Si vous gagnez peu un mois, soyez prêt à cesser d’épargner pour quelque temps. Si vos revenus sont meilleurs un autre mois, cotisez plus à votre compte d’épargne-retraite et à votre fonds d’urgence.
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L’économie à la demande change la façon dont les gens travaillent et attire des Canadiens de tous les milieux. Les emplois temporaires offrent de nombreux avantages (comme la flexibilité, l’indépendance et la conciliation travail-vie privée), mais ils peuvent également être une source de difficultés financières que vous devrez surmonter. Un professionnel en services financiers de BMO pourra vous aider à élaborer un plan personnalisé qui vous permettra de veiller à votre bien-être financier tout en travaillant dans les conditions qui vous conviennent.
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