Le chef de la direction de BMO en Asie fait des affaires en Chine
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L’essor de la Chine en tant que puissance économique est bien documenté. Grâce à sa clientèle importante et à ses priorités économiques en constante évolution, de nouvelles occasions continuent de se présenter aux entreprises nord-américaines qui font des affaires ou qui cherchent à faire des affaires dans ce pays.
Afin d’approfondir ce sujet, Aaron Nelson, un leader de l’équipe des Services bancaires aux grandes entreprises de BMO Harris Bank dans le nord-est du Wisconsin, a animé récemment un événement organisé par la section du nord-est du Wisconsin de l’organisme Financial Executives International. Albert Yu, chef de la direction, Marché de l’Asie, BMO Groupe financier, était le conférencier invité. M. Yu a fourni une perspective « sur le terrain » qui va au-delà des manchettes des journaux et des rapports de recherche, notamment sur les transformations actuellement observées en Chine, les tendances notables et la façon dont les entreprises nord-américaines peuvent s’adapter au contexte économique et réglementaire du pays.
Voici un résumé de l’événement.
Principales transformations
L’ascension de la Chine en tant que puissance économique a commencé il y a environ 40 ans et elle est continue d’évoluer. Pour les entreprises qui explorent les occasions potentielles en Chine, Albert Yu a fait quelques observations importantes à propos du pays.
Tout d’abord, l’urbanisation rapide du pays. En 1980, environ 18 % des citoyens chinois vivaient dans des villes; ce pourcentage est maintenant de 65 %1. Bien que ce taux soit inférieur à celui d’économies matures comme l’Amérique du Nord, où le taux d’urbanisation est de plus de 80 %2, certaines estimations prévoient que 200 millions de personnes supplémentaires s’installeront dans des zones urbaines de la Chine d’ici 2035. Le gouvernement chinois s’étant fixé des objectifs ambitieux en matière de climat et d’environnement, une grande partie de cette croissance est attendue avoir lieu en dehors des mégavilles comme Beijing et Shanghai.
« Cela signifie que 200 millions de personnes supplémentaires s’installeront probablement dans ce qu’on appelle une ville de deuxième rang – comptant de 5 à 10 millions d’habitants – ou de troisième rang – comptant de 2 à 5 millions d’habitants –, a déclaré M. Yu. Pour ce qui est de savoir où placer vos jetons face à cette croissance, je vous recommande de porter attention à ces villes. »
Il faut aussi noter que la Chine a progressé dans la chaîne de valeur de la fabrication. Après avoir été une plaque tournante de la fabrication de textiles et de chaussures, elle se concentre aujourd’hui sur la technologie et l’innovation dans des domaines tels que l’automobile, l’électronique et les équipements médicaux.
Dynamique du consommateur
Le marché chinois de la consommation est important. Cependant, selon M. Yu, ce qui est important, ce n’est pas seulement l’ampleur, mais aussi les qualités uniques du marché. Tout d’abord, les aînés chinois sont de grands consommateurs de commerce électronique.
« D’ici 2030, un quart de la population aura plus de 60 ans3, a mentionné M. Yu. Leur consommation augmentera de 50 % au cours des huit prochaines années, et les deux tiers des aînés utilisent le commerce électronique. Le gouvernement a mis en place un programme de formation pour [aider] les aînés à utiliser des gadgets électroniques. Ils sont très habiles avec les téléphones mobiles, ils vont sur Alibaba et commandent des choses en ligne. »
Par ailleurs, les jeunes consommateurs chinois ont tendance à faire des achats spontanés pendant leurs déplacements ou entre deux rendez-vous. Albert Yu a souligné que 50 % des prêts à la consommation sont accordés à des personnes de moins de 30 ans. Ils ont aussi tendance à être soucieux de l’environnement. Selon M. Yu, environ 80 % des consommateurs chinois sont prêts à payer plus cher pour des solutions de rechange durables, soulignant que la Chine est le plus important marché mondial pour les véhicules électriques (VE), ce qui représente plus de la moitié des ventes totales de VE dans le monde4.
Enfin, une grande partie de la croissance de la consommation en Chine viendra de 15 régions urbaines, qui devraient représenter 90 % de la croissance du produit intérieur brut (PIB) de la Chine. « Si vous voulez faire des affaires en Chine, assurez-vous d’être dans l’une de ces 15 régions », a déclaré M. Yu.
Tendances notables
La plus récente orientation économique du gouvernement concerne la transition de l’économie chinoise d’un modèle d’exportation et d’investissement vers un modèle fondé sur la demande interne, l’innovation et l’autosuffisance. Une partie de ce travail consiste à faire croître la classe moyenne des consommateurs. Il s’agit également de devenir plus autosuffisant dans des secteurs comme la production d’énergie, la fabrication de semi-conducteurs et l’agriculture. « Ils veulent produire pour le monde, mais ils veulent aussi produire davantage pour les ménages [consommateurs] », a déclaré M. Yu.
Selon M. Yu, un autre développement important a été sous-estimé, soit la croissance de la région de la Grande Baie, une mégalopole entourant le delta de la rivière des Perles. Composée de 11 grandes villes, notamment Hong Kong, Shenzhen, Guangzhou, Dongguan et Macao, la région compte une population de 86 millions de personnes et un PIB de 1 700 milliards de dollars5, ce qui est comparable aux PIB du Canada et de la Corée du Sud. On s’attend à ce que la croissance de la région de la Grande Baie surpasse celle du reste de la Chine.
« On parle beaucoup du maintien d’un taux de croissance de 7 %, a mentionné Albert Yu. Si c’est le cas, d’ici 2035, cette région dépassera le Royaume-Uni et la France et deviendra la sixième économie en importance dans le monde. Des stratégies sont élaborées pour y arriver, soit en assouplissant les règles, en libéralisant les secteurs d’activité et en offrant des accommodements fiscaux. Des stratégies sont également conçues afin que les 11 villes soient complémentaires de façon à prendre de l’expansion à l’échelle mondiale. Si je devais m’installer en Chine aujourd’hui, je choisirais d’abord un emplacement dans la région de la Grande Baie. »
M. Yu a également mentionné l’importance du Partenariat économique régional global, un accord de libre-échange qui couvre 15 pays de l’Asie-Pacifique, dont la Chine, le Japon, la Corée du Sud, la Nouvelle-Zélande et l’Australie, et représente 30 % du PIB mondial. Au cours des deux prochaines décennies, l’accord devrait éliminer plus de 90 % des droits de douane sur les importations entre les pays participants6.
Comprendre le modèle économique de la Chine
L’économie chinoise est une combinaison de planification de l’État et d’efficience économique du marché, bien que l’accent soit souvent mis sur la planification de l’État en période de détresse économique. Dans cette optique, les entreprises qui cherchent à pénétrer le marché doivent s’assurer que leurs stratégies d’affaires sont en phase avec la vision du gouvernement. Selon M. Yu, cela signifie qu’il faut trouver un équilibre entre les décisions commerciales et les objectifs sociaux du pays.
« Il y a beaucoup d’entreprises d’État ici, et les décisions commerciales sont importantes, mais elles ne veulent pas aller à l’encontre du programme social, a déclaré M. Yu. Connaître les différences vous aidera à gagner la partie, et voir l’envers de la médaille vous aidera à vous y retrouver [dans cet environnement]. »
M. Yu a ajouté que si la compréhension de l’environnement réglementaire de la Chine peut sembler intimidante, elle pourrait en fin de compte fournir à votre entreprise un avantage concurrentiel. « Si vous ne l’avez jamais fait auparavant, il peut y avoir une certaine courbe d’apprentissage, a dit M. Yu. Ce qui est positif, c’est qu’une fois que vous avez franchi l’obstacle, ce n’en est plus un pour vous, mais un obstacle pour votre prochain concurrent ».
1 Statista
2 Statista
3 Statista
Albert Yu agit à titre de chef de la direction, Asie au sein de BMO Groupe financier, un conglomérat mondial de services financiers diversif…(..)
Voir le profil complet >L’essor de la Chine en tant que puissance économique est bien documenté. Grâce à sa clientèle importante et à ses priorités économiques en constante évolution, de nouvelles occasions continuent de se présenter aux entreprises nord-américaines qui font des affaires ou qui cherchent à faire des affaires dans ce pays.
Afin d’approfondir ce sujet, Aaron Nelson, un leader de l’équipe des Services bancaires aux grandes entreprises de BMO Harris Bank dans le nord-est du Wisconsin, a animé récemment un événement organisé par la section du nord-est du Wisconsin de l’organisme Financial Executives International. Albert Yu, chef de la direction, Marché de l’Asie, BMO Groupe financier, était le conférencier invité. M. Yu a fourni une perspective « sur le terrain » qui va au-delà des manchettes des journaux et des rapports de recherche, notamment sur les transformations actuellement observées en Chine, les tendances notables et la façon dont les entreprises nord-américaines peuvent s’adapter au contexte économique et réglementaire du pays.
Voici un résumé de l’événement.
Principales transformations
L’ascension de la Chine en tant que puissance économique a commencé il y a environ 40 ans et elle est continue d’évoluer. Pour les entreprises qui explorent les occasions potentielles en Chine, Albert Yu a fait quelques observations importantes à propos du pays.
Tout d’abord, l’urbanisation rapide du pays. En 1980, environ 18 % des citoyens chinois vivaient dans des villes; ce pourcentage est maintenant de 65 %1. Bien que ce taux soit inférieur à celui d’économies matures comme l’Amérique du Nord, où le taux d’urbanisation est de plus de 80 %2, certaines estimations prévoient que 200 millions de personnes supplémentaires s’installeront dans des zones urbaines de la Chine d’ici 2035. Le gouvernement chinois s’étant fixé des objectifs ambitieux en matière de climat et d’environnement, une grande partie de cette croissance est attendue avoir lieu en dehors des mégavilles comme Beijing et Shanghai.
« Cela signifie que 200 millions de personnes supplémentaires s’installeront probablement dans ce qu’on appelle une ville de deuxième rang – comptant de 5 à 10 millions d’habitants – ou de troisième rang – comptant de 2 à 5 millions d’habitants –, a déclaré M. Yu. Pour ce qui est de savoir où placer vos jetons face à cette croissance, je vous recommande de porter attention à ces villes. »
Il faut aussi noter que la Chine a progressé dans la chaîne de valeur de la fabrication. Après avoir été une plaque tournante de la fabrication de textiles et de chaussures, elle se concentre aujourd’hui sur la technologie et l’innovation dans des domaines tels que l’automobile, l’électronique et les équipements médicaux.
Dynamique du consommateur
Le marché chinois de la consommation est important. Cependant, selon M. Yu, ce qui est important, ce n’est pas seulement l’ampleur, mais aussi les qualités uniques du marché. Tout d’abord, les aînés chinois sont de grands consommateurs de commerce électronique.
« D’ici 2030, un quart de la population aura plus de 60 ans3, a mentionné M. Yu. Leur consommation augmentera de 50 % au cours des huit prochaines années, et les deux tiers des aînés utilisent le commerce électronique. Le gouvernement a mis en place un programme de formation pour [aider] les aînés à utiliser des gadgets électroniques. Ils sont très habiles avec les téléphones mobiles, ils vont sur Alibaba et commandent des choses en ligne. »
Par ailleurs, les jeunes consommateurs chinois ont tendance à faire des achats spontanés pendant leurs déplacements ou entre deux rendez-vous. Albert Yu a souligné que 50 % des prêts à la consommation sont accordés à des personnes de moins de 30 ans. Ils ont aussi tendance à être soucieux de l’environnement. Selon M. Yu, environ 80 % des consommateurs chinois sont prêts à payer plus cher pour des solutions de rechange durables, soulignant que la Chine est le plus important marché mondial pour les véhicules électriques (VE), ce qui représente plus de la moitié des ventes totales de VE dans le monde4.
Enfin, une grande partie de la croissance de la consommation en Chine viendra de 15 régions urbaines, qui devraient représenter 90 % de la croissance du produit intérieur brut (PIB) de la Chine. « Si vous voulez faire des affaires en Chine, assurez-vous d’être dans l’une de ces 15 régions », a déclaré M. Yu.
Tendances notables
La plus récente orientation économique du gouvernement concerne la transition de l’économie chinoise d’un modèle d’exportation et d’investissement vers un modèle fondé sur la demande interne, l’innovation et l’autosuffisance. Une partie de ce travail consiste à faire croître la classe moyenne des consommateurs. Il s’agit également de devenir plus autosuffisant dans des secteurs comme la production d’énergie, la fabrication de semi-conducteurs et l’agriculture. « Ils veulent produire pour le monde, mais ils veulent aussi produire davantage pour les ménages [consommateurs] », a déclaré M. Yu.
Selon M. Yu, un autre développement important a été sous-estimé, soit la croissance de la région de la Grande Baie, une mégalopole entourant le delta de la rivière des Perles. Composée de 11 grandes villes, notamment Hong Kong, Shenzhen, Guangzhou, Dongguan et Macao, la région compte une population de 86 millions de personnes et un PIB de 1 700 milliards de dollars5, ce qui est comparable aux PIB du Canada et de la Corée du Sud. On s’attend à ce que la croissance de la région de la Grande Baie surpasse celle du reste de la Chine.
« On parle beaucoup du maintien d’un taux de croissance de 7 %, a mentionné Albert Yu. Si c’est le cas, d’ici 2035, cette région dépassera le Royaume-Uni et la France et deviendra la sixième économie en importance dans le monde. Des stratégies sont élaborées pour y arriver, soit en assouplissant les règles, en libéralisant les secteurs d’activité et en offrant des accommodements fiscaux. Des stratégies sont également conçues afin que les 11 villes soient complémentaires de façon à prendre de l’expansion à l’échelle mondiale. Si je devais m’installer en Chine aujourd’hui, je choisirais d’abord un emplacement dans la région de la Grande Baie. »
M. Yu a également mentionné l’importance du Partenariat économique régional global, un accord de libre-échange qui couvre 15 pays de l’Asie-Pacifique, dont la Chine, le Japon, la Corée du Sud, la Nouvelle-Zélande et l’Australie, et représente 30 % du PIB mondial. Au cours des deux prochaines décennies, l’accord devrait éliminer plus de 90 % des droits de douane sur les importations entre les pays participants6.
Comprendre le modèle économique de la Chine
L’économie chinoise est une combinaison de planification de l’État et d’efficience économique du marché, bien que l’accent soit souvent mis sur la planification de l’État en période de détresse économique. Dans cette optique, les entreprises qui cherchent à pénétrer le marché doivent s’assurer que leurs stratégies d’affaires sont en phase avec la vision du gouvernement. Selon M. Yu, cela signifie qu’il faut trouver un équilibre entre les décisions commerciales et les objectifs sociaux du pays.
« Il y a beaucoup d’entreprises d’État ici, et les décisions commerciales sont importantes, mais elles ne veulent pas aller à l’encontre du programme social, a déclaré M. Yu. Connaître les différences vous aidera à gagner la partie, et voir l’envers de la médaille vous aidera à vous y retrouver [dans cet environnement]. »
M. Yu a ajouté que si la compréhension de l’environnement réglementaire de la Chine peut sembler intimidante, elle pourrait en fin de compte fournir à votre entreprise un avantage concurrentiel. « Si vous ne l’avez jamais fait auparavant, il peut y avoir une certaine courbe d’apprentissage, a dit M. Yu. Ce qui est positif, c’est qu’une fois que vous avez franchi l’obstacle, ce n’en est plus un pour vous, mais un obstacle pour votre prochain concurrent ».
1 Statista
2 Statista
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