Ventes de maisons existantes au Canada (septembre) – Le monde est à nouveau aux mains des acheteurs
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L’activité dans le secteur canadien de l’habitation continue de faiblir après un bref rebond au printemps et au début de l’été. De plus, comme la vente massive sur le marché obligataire fait grimper les taux hypothécaires fixes, la dernière pause de la Banque du Canada n’aide pas cette fois-ci, ce qui n’est pas surprenant.
Les ventes de maisons existantes ont reculé de 1,9 % en septembre (après désaisonnalisation) et ont légèrement augmenté de 1,9 % par rapport à il y a un an. Bien que les activités actuelles puissent sembler très calmes par rapport à la demande endémique de 2021 et du début de 2022, les volumes de ventes actuels sont toujours conformes aux normes d’avant la pandémie de COVID-19.
Entre-temps, les nouvelles inscriptions ont augmenté de 6,3 % au cours d’un sixième mois consécutif de flux solides désaisonnalisés. Les nouvelles inscriptions ont donc augmenté de 14,2 % par rapport à il y a un an et se situent à l’extrémité supérieure des normes d’avant la pandémie de COVID-19. Autrement dit, la période unique du début de 2023, où il y a eu une pénurie complète d’inscriptions, est maintenant terminée et nous constatons que l’offre est beaucoup plus abondante.
La situation continue d’atténuer considérablement l’équilibre du marché. Le ratio des ventes par rapport aux nouvelles inscriptions est tombé à 51,4 % en septembre (55,7 % le mois précédent), alors qu’il atteignait 68 % en avril. À titre de comparaison, la moyenne sur 10 ans est de 61 %, et ces derniers résultats empiètent sur les résultats les plus bas (c.-à-d. les plus faibles) de la dernière décennie. Les mois de stocks continuent également d’augmenter graduellement, passant à 3,7 en septembre – un résultat assez stable.
Ces dynamiques donnent à penser que les prix continueront d’être soumis à des pressions à la baisse, et c’était le cas en septembre. Le prix de référence national a chuté de 0,3 % au cours du mois (+1,1 % sur 12 mois), mettant fin à la période de gains de cinq mois depuis le rebond du printemps. Par rapport aux sommets atteints au début de 2022, le prix de référence accuse toujours un recul, de 10 %, mais il a rebondi d’un peu moins de 7 % par rapport au creux de mars 2023.
Dans l’ensemble, des inscriptions plus nombreuses, des taux hypothécaires restrictifs, une demande prudente des investisseurs et des perspectives économiques modérées sont autant d’indicateurs de conditions de marché difficiles. Nous croyons que le risque lié aux prix est un autre obstacle qu’il faudra surmonter jusqu’au milieu de 2024. Il y a des acheteurs, et il y a maintenant aussi beaucoup de vendeurs… mais le marché a besoin de prix moins élevés pour se relancer dans ce contexte de taux et d’admissibilité aux prêts hypothécaires.
Table 1 - Canada — Ventes de maisons existantes
(% de variation)
Septembre 2023 |
m/m1 Sales |
y/y Sales |
y-t-d Sales |
y/y Prices |
y-t-d Prices |
---|---|---|---|---|---|
Canada |
-1,9 |
1,9 |
-13,6 |
2,5 |
-4,7 |
Calgary |
-1,8 |
21,6 |
-13,8 |
9,4 |
2,8 |
Halifax |
5,9 |
0,5 |
-18,0 |
3,9 |
2,1 |
Vancouver |
-5,6 |
13,3 |
-12,7 |
5,7 |
-0,8 |
Montreal |
1,5 |
8,9 |
-16,7 |
5,5 |
-3,1 |
Edmonton |
7,2 |
26,1 |
-14,0 |
1,0 |
-4,3 |
Regina |
-4,8 |
0,8 |
-9,7 |
2,1 |
-4,2 |
Winnipeg |
-3,4 |
-1,5 |
-14,4 |
4,3 |
-4,4 |
Ottawa |
-2,0 |
2,4 |
-12,5 |
2,3 |
-6,5 |
Toronto |
-1,8 |
-7,9 |
-14,3 |
3,0 |
-6,6 |
Indice MLS des prix des propriétés (national) |
|
1,1 |
-7,9 |
||
1(résultats désaisonnalisés) |
Source: BMO Economics, Haver Analytics, CREA
L’emplacement est roi
Il y a des divergences claires dans les conditions du marché qui sont masquées par les chiffres nationaux et, bien que certaines régions soient totalement avantageuses pour les acheteurs, d’autres voient toujours les vendeurs comme ceux ayant l’avantage. Voici un aperçu de la situation (en gros) du mieux au pire :
Il y a des divergences claires dans les conditions du marché qui sont masquées par les chiffres nationaux et, bien que certaines régions soient totalement avantageuses pour les acheteurs, d’autres voient toujours les vendeurs comme ceux ayant l’avantage. Voici un aperçu de la situation (en gros) du mieux au pire :
Calgary: Il s’agit toujours du marché le plus vigoureux au Canada, et de loin. Le ratio ventes-nouvelles inscriptions y est à un sommet de 79,3 %, et les prix ont maintenant rebondi de plus de 7 % par rapport au sommet atteint avant la correction de 2022 (la correction de Calgary a également été l’une des plus modestes au pays). Ce n’est pas tout à fait une surprise, car l’économie est solide, l’abordabilité est relativement favorable et les gens y déménagent en grand nombre à partir d’autres régions.
Atlantique, Canada: La région attire également d’importantes rentrées de fonds, car l’abordabilité est relativement attrayante. Il n’est donc pas surprenant que des marchés comme Moncton, Halifax et certaines régions de l’Île-du-Prince-Édouard et de Terre-Neuve-et-Labrador demeurent tendus. La majeure partie de la région est toujours favorable aux vendeurs, tandis que les prix sont à des sommets cycliques ou presque.
Prairies: À l’extérieur de Calgary, les marchés d’Edmonton à Winnipeg sont solides. Ces marchés ne montrent pas autant de vigueur, car ils affichent une stabilité par rapport à une faiblesse plus importante ailleurs.
Québec: Le ratio ventes-nouvelles inscriptions à l’échelle de la province est de 63 %, et les prix à Montréal ne sont en baisse que de moins de 3 % par rapport à leur sommet.
Colombie-Britannique: Vancouver semble encore assez équilibrée et, même s’il y a des signes de ralentissement, nous avons constaté des conditions beaucoup plus défavorables dans ce marché. Les prix ont augmenté d’un mois à l’autre en septembre et n’ont reculé que de 2,3 % par rapport au récent sommet. L’intérieur de la Colombie-Britannique (p. ex., Okanagan) connaît des conditions de marché beaucoup plus faibles.
Toronto: L’équilibre du marché s’est rapidement détérioré, le ratio ventes-nouvelles inscriptions est maintenant favorable aux acheteurs et la hausse des prix au printemps est devenue négative. Les nouvelles inscriptions dans la Cité de Toronto ont bondi de 46 % au cours de la dernière année, l’accumulation de stocks étant plus élevée du côté des copropriétés (et il y a encore beaucoup de projets en cours).
Sud de l’Ontario: Il n’est pas surprenant que les marchés les plus convoités pendant le boom de la COVID-19 – ceux alimentés par des taux d’intérêt extrêmement faibles et des mouvements de masse hors des grandes villes – connaissent maintenant la plus forte reprise. Des marchés comme ceux de London, de Barrie et de Niagara sont avantageux pour les acheteurs et les prix dans ces régions (et des endroits similaires) étaient toujours en baisse de plus de 15 % par rapport à leur sommet, même après le rebond du printemps et de l’été.
Le pays du chalet: L’explosion de la demande, qui ne se produit qu’une fois par génération, est en chute libre, et ceux qui parient sur le moment où les prix des chalets reviennent aux niveaux du début de 2022 devraient prévoir des années, et non des mois ou des trimestres.
Consultez les graphiques à l’appui (en englais seulement)
Passez en revue les renseignements importants (en englais seulement)
Robert Kavcic s’est joint à la Banque de Montréal en 2006. Il joue un rôle clé dans l’analyse des tendances économique…(..)
Voir le profil complet >L’activité dans le secteur canadien de l’habitation continue de faiblir après un bref rebond au printemps et au début de l’été. De plus, comme la vente massive sur le marché obligataire fait grimper les taux hypothécaires fixes, la dernière pause de la Banque du Canada n’aide pas cette fois-ci, ce qui n’est pas surprenant.
Les ventes de maisons existantes ont reculé de 1,9 % en septembre (après désaisonnalisation) et ont légèrement augmenté de 1,9 % par rapport à il y a un an. Bien que les activités actuelles puissent sembler très calmes par rapport à la demande endémique de 2021 et du début de 2022, les volumes de ventes actuels sont toujours conformes aux normes d’avant la pandémie de COVID-19.
Entre-temps, les nouvelles inscriptions ont augmenté de 6,3 % au cours d’un sixième mois consécutif de flux solides désaisonnalisés. Les nouvelles inscriptions ont donc augmenté de 14,2 % par rapport à il y a un an et se situent à l’extrémité supérieure des normes d’avant la pandémie de COVID-19. Autrement dit, la période unique du début de 2023, où il y a eu une pénurie complète d’inscriptions, est maintenant terminée et nous constatons que l’offre est beaucoup plus abondante.
La situation continue d’atténuer considérablement l’équilibre du marché. Le ratio des ventes par rapport aux nouvelles inscriptions est tombé à 51,4 % en septembre (55,7 % le mois précédent), alors qu’il atteignait 68 % en avril. À titre de comparaison, la moyenne sur 10 ans est de 61 %, et ces derniers résultats empiètent sur les résultats les plus bas (c.-à-d. les plus faibles) de la dernière décennie. Les mois de stocks continuent également d’augmenter graduellement, passant à 3,7 en septembre – un résultat assez stable.
Ces dynamiques donnent à penser que les prix continueront d’être soumis à des pressions à la baisse, et c’était le cas en septembre. Le prix de référence national a chuté de 0,3 % au cours du mois (+1,1 % sur 12 mois), mettant fin à la période de gains de cinq mois depuis le rebond du printemps. Par rapport aux sommets atteints au début de 2022, le prix de référence accuse toujours un recul, de 10 %, mais il a rebondi d’un peu moins de 7 % par rapport au creux de mars 2023.
Dans l’ensemble, des inscriptions plus nombreuses, des taux hypothécaires restrictifs, une demande prudente des investisseurs et des perspectives économiques modérées sont autant d’indicateurs de conditions de marché difficiles. Nous croyons que le risque lié aux prix est un autre obstacle qu’il faudra surmonter jusqu’au milieu de 2024. Il y a des acheteurs, et il y a maintenant aussi beaucoup de vendeurs… mais le marché a besoin de prix moins élevés pour se relancer dans ce contexte de taux et d’admissibilité aux prêts hypothécaires.
Table 1 - Canada — Ventes de maisons existantes
(% de variation)
Septembre 2023 |
m/m1 Sales |
y/y Sales |
y-t-d Sales |
y/y Prices |
y-t-d Prices |
---|---|---|---|---|---|
Canada |
-1,9 |
1,9 |
-13,6 |
2,5 |
-4,7 |
Calgary |
-1,8 |
21,6 |
-13,8 |
9,4 |
2,8 |
Halifax |
5,9 |
0,5 |
-18,0 |
3,9 |
2,1 |
Vancouver |
-5,6 |
13,3 |
-12,7 |
5,7 |
-0,8 |
Montreal |
1,5 |
8,9 |
-16,7 |
5,5 |
-3,1 |
Edmonton |
7,2 |
26,1 |
-14,0 |
1,0 |
-4,3 |
Regina |
-4,8 |
0,8 |
-9,7 |
2,1 |
-4,2 |
Winnipeg |
-3,4 |
-1,5 |
-14,4 |
4,3 |
-4,4 |
Ottawa |
-2,0 |
2,4 |
-12,5 |
2,3 |
-6,5 |
Toronto |
-1,8 |
-7,9 |
-14,3 |
3,0 |
-6,6 |
Indice MLS des prix des propriétés (national) |
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1,1 |
-7,9 |
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1(résultats désaisonnalisés) |
Source: BMO Economics, Haver Analytics, CREA
L’emplacement est roi
Il y a des divergences claires dans les conditions du marché qui sont masquées par les chiffres nationaux et, bien que certaines régions soient totalement avantageuses pour les acheteurs, d’autres voient toujours les vendeurs comme ceux ayant l’avantage. Voici un aperçu de la situation (en gros) du mieux au pire :
Il y a des divergences claires dans les conditions du marché qui sont masquées par les chiffres nationaux et, bien que certaines régions soient totalement avantageuses pour les acheteurs, d’autres voient toujours les vendeurs comme ceux ayant l’avantage. Voici un aperçu de la situation (en gros) du mieux au pire :
Calgary: Il s’agit toujours du marché le plus vigoureux au Canada, et de loin. Le ratio ventes-nouvelles inscriptions y est à un sommet de 79,3 %, et les prix ont maintenant rebondi de plus de 7 % par rapport au sommet atteint avant la correction de 2022 (la correction de Calgary a également été l’une des plus modestes au pays). Ce n’est pas tout à fait une surprise, car l’économie est solide, l’abordabilité est relativement favorable et les gens y déménagent en grand nombre à partir d’autres régions.
Atlantique, Canada: La région attire également d’importantes rentrées de fonds, car l’abordabilité est relativement attrayante. Il n’est donc pas surprenant que des marchés comme Moncton, Halifax et certaines régions de l’Île-du-Prince-Édouard et de Terre-Neuve-et-Labrador demeurent tendus. La majeure partie de la région est toujours favorable aux vendeurs, tandis que les prix sont à des sommets cycliques ou presque.
Prairies: À l’extérieur de Calgary, les marchés d’Edmonton à Winnipeg sont solides. Ces marchés ne montrent pas autant de vigueur, car ils affichent une stabilité par rapport à une faiblesse plus importante ailleurs.
Québec: Le ratio ventes-nouvelles inscriptions à l’échelle de la province est de 63 %, et les prix à Montréal ne sont en baisse que de moins de 3 % par rapport à leur sommet.
Colombie-Britannique: Vancouver semble encore assez équilibrée et, même s’il y a des signes de ralentissement, nous avons constaté des conditions beaucoup plus défavorables dans ce marché. Les prix ont augmenté d’un mois à l’autre en septembre et n’ont reculé que de 2,3 % par rapport au récent sommet. L’intérieur de la Colombie-Britannique (p. ex., Okanagan) connaît des conditions de marché beaucoup plus faibles.
Toronto: L’équilibre du marché s’est rapidement détérioré, le ratio ventes-nouvelles inscriptions est maintenant favorable aux acheteurs et la hausse des prix au printemps est devenue négative. Les nouvelles inscriptions dans la Cité de Toronto ont bondi de 46 % au cours de la dernière année, l’accumulation de stocks étant plus élevée du côté des copropriétés (et il y a encore beaucoup de projets en cours).
Sud de l’Ontario: Il n’est pas surprenant que les marchés les plus convoités pendant le boom de la COVID-19 – ceux alimentés par des taux d’intérêt extrêmement faibles et des mouvements de masse hors des grandes villes – connaissent maintenant la plus forte reprise. Des marchés comme ceux de London, de Barrie et de Niagara sont avantageux pour les acheteurs et les prix dans ces régions (et des endroits similaires) étaient toujours en baisse de plus de 15 % par rapport à leur sommet, même après le rebond du printemps et de l’été.
Le pays du chalet: L’explosion de la demande, qui ne se produit qu’une fois par génération, est en chute libre, et ceux qui parient sur le moment où les prix des chalets reviennent aux niveaux du début de 2022 devraient prévoir des années, et non des mois ou des trimestres.
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